lundi 31 juillet 2017
dimanche 30 juillet 2017
Radio présence : Dieu sème encore dans nos vies...
Evangile
Matthieu 13, 18-23 Pasteure Isabelle Maurel, aumônier militaire
00:00
01:05
00:24
Radio Présence : Toujours plus riche ou toujours plus pauvre ?
Evangile
Matthieu 13, 10-17 Pasteure Isabelle Maurel, aumônier militaire
00:00
01:16
01:20
03:13
Radio Présence : Dieu sème même sur les terres difficiles de nos vies...
Evangile
Matthieu 13, 1-9 Pasteure Isabelle Maurel, aumônier militaire
00:00
01:00
00:00
02:31
mardi 25 juillet 2017
lundi 24 juillet 2017
Radio présence : Le Jonas qui est en nous
Evangile
Matthieu 12, 38-42 Pasteure Isabelle Maurel, aumônier militaire
00:00
01:01
00:00
02:29
dimanche 23 juillet 2017
jeudi 20 juillet 2017
L'éternité
L'éternité peut être une inspiration, un baiser, le souvenir d'un visage ou d'une voix, une émotion, un paysage, une sensation..
L'éternité c'est ce que l'impulsion du cœur créer et la mémoire le cristallise pour ne jamais l'oublier..
- Christine Simon -
L'éternité c'est ce que l'impulsion du cœur créer et la mémoire le cristallise pour ne jamais l'oublier..
- Christine Simon -
mercredi 19 juillet 2017
mardi 18 juillet 2017
Steve Jobs
Les derniers mots de Steve Jobs.
"J'ai atteint le sommet du succès dans les affaires.
Aux yeux des autres, ma vie a été le symbole du succès.
Toutefois, en dehors du travail, j'ai eu peu de joie.
Enfin, ma richesse n'était rien de plus qu'un fait dans lequel je me suis habitué.
En ce moment, allongé sur le lit d'hôpital et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que tous les éloges et les richesses dont j'étais si fier, ont été transformé en quelque chose d'insignifiant devant la mort imminente.
Dans l'obscurité, quand je regarde les feux verts de l'équipement de la respiration artificielle et que j entend le bourdonnement de ses sons mécaniques, je peux sentir le souffle de la proximité de la mort qui m'attend.
C'est seulement maintenant que je comprends, une fois qu'on a accumulé assez d'argent pour le reste de sa vie, que nous devons poursuivre d'autres objectifs qui ne sont pas liés à la richesse.
Ils doivent être quelque chose de plus important : Par exemple, l'amour, l'art, les rêves de notre enfance...
Dieu nous a formé d'une manière que nous pouvons sentir l'amour dans le cœur de chacun de nous, et pas les illusions construites par la célébrité ou l'argent que j'ai gagné, je ne peux pas les emmener avec moi.
Je ne peux emporter avec moi que les souvenirs qui ont été renforcés par l'amour.
C'est la vraie richesse qui vous suivra; qui vous accompagnera et vous donnera la force et la lumière pour aller de l'avant.
L'amour peut voyager a des milliers de kilomètres et c'est ainsi. la vie n'a pas de limites.
Bouge-toi où tu voudras. Fais de ton mieux pour atteindre les objectifs que tu souhaites atteindre. Tout est dans ton cœur et dans tes mains.
Quel est le lit le plus cher du monde ? Le lit d'hôpital.
Vous, si vous avez de l'argent, vous pouvez engager quelqu'un pour conduire votre voiture, mais on ne peut pas embaucher quelqu'un pour prendre votre maladie. Les choses matérielles perdues peuvent se retrouver. Mais il y a une chose que vous ne pouvez jamais trouver quand on perd sa vie.
Quelque soit l'étape de la vie dans laquelle nous sommes en ce moment, au final, nous allons devoir affronter le jour ou le rideau tombera.
Faites un trésor de l'amour pour votre famille, de l'amour pour votre mari ou femme, de l'amour pour vos amis, chérissez l'amour, partager et donner au suivant…
Que chacun agisse avec amour et occupez-vous de votre prochain."
Steve Jobs
"J'ai atteint le sommet du succès dans les affaires.
Aux yeux des autres, ma vie a été le symbole du succès.
Toutefois, en dehors du travail, j'ai eu peu de joie.
Enfin, ma richesse n'était rien de plus qu'un fait dans lequel je me suis habitué.
En ce moment, allongé sur le lit d'hôpital et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que tous les éloges et les richesses dont j'étais si fier, ont été transformé en quelque chose d'insignifiant devant la mort imminente.
Dans l'obscurité, quand je regarde les feux verts de l'équipement de la respiration artificielle et que j entend le bourdonnement de ses sons mécaniques, je peux sentir le souffle de la proximité de la mort qui m'attend.
C'est seulement maintenant que je comprends, une fois qu'on a accumulé assez d'argent pour le reste de sa vie, que nous devons poursuivre d'autres objectifs qui ne sont pas liés à la richesse.
Ils doivent être quelque chose de plus important : Par exemple, l'amour, l'art, les rêves de notre enfance...
Dieu nous a formé d'une manière que nous pouvons sentir l'amour dans le cœur de chacun de nous, et pas les illusions construites par la célébrité ou l'argent que j'ai gagné, je ne peux pas les emmener avec moi.
Je ne peux emporter avec moi que les souvenirs qui ont été renforcés par l'amour.
C'est la vraie richesse qui vous suivra; qui vous accompagnera et vous donnera la force et la lumière pour aller de l'avant.
L'amour peut voyager a des milliers de kilomètres et c'est ainsi. la vie n'a pas de limites.
Bouge-toi où tu voudras. Fais de ton mieux pour atteindre les objectifs que tu souhaites atteindre. Tout est dans ton cœur et dans tes mains.
Quel est le lit le plus cher du monde ? Le lit d'hôpital.
Vous, si vous avez de l'argent, vous pouvez engager quelqu'un pour conduire votre voiture, mais on ne peut pas embaucher quelqu'un pour prendre votre maladie. Les choses matérielles perdues peuvent se retrouver. Mais il y a une chose que vous ne pouvez jamais trouver quand on perd sa vie.
Quelque soit l'étape de la vie dans laquelle nous sommes en ce moment, au final, nous allons devoir affronter le jour ou le rideau tombera.
Faites un trésor de l'amour pour votre famille, de l'amour pour votre mari ou femme, de l'amour pour vos amis, chérissez l'amour, partager et donner au suivant…
Que chacun agisse avec amour et occupez-vous de votre prochain."
Steve Jobs
samedi 15 juillet 2017
jeudi 13 juillet 2017
13 juillet
ça c 'est passé un 13 juillet
13 janvier 1898
J'accuse
Le 13 janvier 1898, Émile Zola publie une lettre ouverte au président de la République dans L'Aurore sous le titre «J'accuse».
Zola engage sa réputation et sa liberté
Dans ce texte virulent qui occupe la première page du quotidien, le célèbre écrivain dénonce les manigances qui entourent le procès du capitaine Alfred Dreyfus, accusé à tort d'espionnage, et l'acquittement par le conseil de guerre, trois jours plus tôt, du capitaine Esterhazy, le vrai coupable.
Emile Zola Ce faisant, Émile Zola, riche et comblé d'honneurs, prend sciemment à 48 ans le risque de se faire arrêter et condamner pour diffamation publique.
Son article fait d'emblée l'effet d'une bombe. Dès le lendemain a lieu une «pétition des intellectuels» en soutien de l'écrivain. Cette pétition est une première dans l'Histoire de France.
Zola reçoit par ailleurs le soutien empressé de Georges Clemenceau, qui tient une chronique dans L'Aurore depuis que le scandale de Panamal'a exclu de la vie parlementaire.
Sincèrement indigné, le «tombeur de ministères»saisit l'occasion de faire sa rentrée politique en s'en prenant selon son habitude au gouvernement en place.
Le 23 février 1898, Émile Zola est traduit en cour d'assises et condamné à un an de prison. Mais l'affaire prend de l'ampleur et met l'opinion publique en ébullition.
La vérité éclate au grand jour
En août, coup de théâtre ! Le colonel Henry, qui a décrypté le bordereau à l'origine de l'Affaire, met au jour un nouveau document. Mais un examen minutieux révèle des anomalies...
Le 30 août, le colonel est convoqué par le ministre de la guerre auquel il avoue avoir «arrangé les choses». Emprisonné , il se suicide le lendemain dans sa cellule... grâce à la bienveillance de ses gardiens qui, contrairement aux usages, lui ont laissé de quoi se tuer (un rasoir).
Dreyfus avec ses avocats Demange et Labori en 1899 Devant le scandale, le ministre est contraint à la démission et son remplaçant consent à la révision du procès de Dreyfus qui rentre enfin du bagne.
Un procès se tient à Rennes dans une atmosphère houleuse.
Le 9 septembre 1899, la cour militaire reconnaît à nouveau Dreyfus coupable de haute trahison, mais le condamne seulement à dix ans de réclusion en raison de «circonstances atténuantes» (!).
Le président de la République Émile Loubet grâcie Dreyfus dès le 19 septembre mais l'ancien capitaine exige un acquittement complet.
Vers l'apaisement
L'émotion provoquée par l'Affaire concourt à la formation d'un bloc républicain et relance le principe d'une laïcisation complète de l'État, en latence depuis l'époque de Jules Ferry, vingt ans plus tôt. C'est ainsi que la loi de séparation des Églises et de l'État est enfin votée après d'ardents débats le 5 décembre 1905.
Enfin, le 12 juillet 1906, l'Affaire trouve son épilogue avec un arrêt de la Cour de Cassation qui casse le jugement du 9 septembre 1899. Dreyfus est définitivement innocenté. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur dans la cour de l'École militaire le 21 juillet 1906.
Picquart, que Clemenceau considère comme le véritable héros de l'Affaire car il a risqué sa carrière au nom de la justice et de l'honneur, est promu au grade de général et devient tout bonnement ministre de la Guerre dans le gouvernement du «Tigre» (surnom de Clemenceau).
L'Affaire sera close avec le transfert des cendres de Zola au Panthéon le 4 juin 1908.
Dreyfus, les intellectuels et l'antisémitisme
Dès la parution de J'accuse (1898), la bourgeoisie parisienne se divise très violemment en deux camps.
– Les dreyfusards dénoncent l'injustice faite à Dreyfus et l'acquittement inique d'Esterhazy. Ils placent la justice et les droits de l'homme au-dessus de l'honneur militaire et de la raison d'État.
Parmi les dreyfusards, on trouve non seulement des hommes politiques mais aussi des écrivains de renom. C'est le moment où l'on commence de parler des «intellectuels», non sans une nuance de mépris.
– Les antidreyfusards considèrent qu'il vaut mieux condamner un innocent plutôt que d'admettre que la justice militaire ait pu se tromper.
À une époque où chacun, à droite comme à gauche, ne rêve que de revanche sur l'Allemagne et de«guerre régénératrice», tout affaiblissement de l'Armée fait figure à leurs yeux de haute trahison.
Par le fait que Dreyfus est issu d'une riche famille israélite, le camp antidreyfusard ne tarde pas aussi à attiser un antisémitisme d'un genre nouveau, à la fois national et laïc. -
13 janvier 1898
J'accuse
Le 13 janvier 1898, Émile Zola publie une lettre ouverte au président de la République dans L'Aurore sous le titre «J'accuse».
Zola engage sa réputation et sa liberté
Dans ce texte virulent qui occupe la première page du quotidien, le célèbre écrivain dénonce les manigances qui entourent le procès du capitaine Alfred Dreyfus, accusé à tort d'espionnage, et l'acquittement par le conseil de guerre, trois jours plus tôt, du capitaine Esterhazy, le vrai coupable.
Emile Zola Ce faisant, Émile Zola, riche et comblé d'honneurs, prend sciemment à 48 ans le risque de se faire arrêter et condamner pour diffamation publique.
Son article fait d'emblée l'effet d'une bombe. Dès le lendemain a lieu une «pétition des intellectuels» en soutien de l'écrivain. Cette pétition est une première dans l'Histoire de France.
Zola reçoit par ailleurs le soutien empressé de Georges Clemenceau, qui tient une chronique dans L'Aurore depuis que le scandale de Panamal'a exclu de la vie parlementaire.
Sincèrement indigné, le «tombeur de ministères»saisit l'occasion de faire sa rentrée politique en s'en prenant selon son habitude au gouvernement en place.
Le 23 février 1898, Émile Zola est traduit en cour d'assises et condamné à un an de prison. Mais l'affaire prend de l'ampleur et met l'opinion publique en ébullition.
La vérité éclate au grand jour
En août, coup de théâtre ! Le colonel Henry, qui a décrypté le bordereau à l'origine de l'Affaire, met au jour un nouveau document. Mais un examen minutieux révèle des anomalies...
Le 30 août, le colonel est convoqué par le ministre de la guerre auquel il avoue avoir «arrangé les choses». Emprisonné , il se suicide le lendemain dans sa cellule... grâce à la bienveillance de ses gardiens qui, contrairement aux usages, lui ont laissé de quoi se tuer (un rasoir).
Dreyfus avec ses avocats Demange et Labori en 1899 Devant le scandale, le ministre est contraint à la démission et son remplaçant consent à la révision du procès de Dreyfus qui rentre enfin du bagne.
Un procès se tient à Rennes dans une atmosphère houleuse.
Le 9 septembre 1899, la cour militaire reconnaît à nouveau Dreyfus coupable de haute trahison, mais le condamne seulement à dix ans de réclusion en raison de «circonstances atténuantes» (!).
Le président de la République Émile Loubet grâcie Dreyfus dès le 19 septembre mais l'ancien capitaine exige un acquittement complet.
Vers l'apaisement
L'émotion provoquée par l'Affaire concourt à la formation d'un bloc républicain et relance le principe d'une laïcisation complète de l'État, en latence depuis l'époque de Jules Ferry, vingt ans plus tôt. C'est ainsi que la loi de séparation des Églises et de l'État est enfin votée après d'ardents débats le 5 décembre 1905.
Enfin, le 12 juillet 1906, l'Affaire trouve son épilogue avec un arrêt de la Cour de Cassation qui casse le jugement du 9 septembre 1899. Dreyfus est définitivement innocenté. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur dans la cour de l'École militaire le 21 juillet 1906.
Picquart, que Clemenceau considère comme le véritable héros de l'Affaire car il a risqué sa carrière au nom de la justice et de l'honneur, est promu au grade de général et devient tout bonnement ministre de la Guerre dans le gouvernement du «Tigre» (surnom de Clemenceau).
L'Affaire sera close avec le transfert des cendres de Zola au Panthéon le 4 juin 1908.
Dreyfus, les intellectuels et l'antisémitisme
Dès la parution de J'accuse (1898), la bourgeoisie parisienne se divise très violemment en deux camps.
– Les dreyfusards dénoncent l'injustice faite à Dreyfus et l'acquittement inique d'Esterhazy. Ils placent la justice et les droits de l'homme au-dessus de l'honneur militaire et de la raison d'État.
Parmi les dreyfusards, on trouve non seulement des hommes politiques mais aussi des écrivains de renom. C'est le moment où l'on commence de parler des «intellectuels», non sans une nuance de mépris.
– Les antidreyfusards considèrent qu'il vaut mieux condamner un innocent plutôt que d'admettre que la justice militaire ait pu se tromper.
À une époque où chacun, à droite comme à gauche, ne rêve que de revanche sur l'Allemagne et de«guerre régénératrice», tout affaiblissement de l'Armée fait figure à leurs yeux de haute trahison.
Par le fait que Dreyfus est issu d'une riche famille israélite, le camp antidreyfusard ne tarde pas aussi à attiser un antisémitisme d'un genre nouveau, à la fois national et laïc. -
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