lundi 27 février 2017
dimanche 26 février 2017
samedi 25 février 2017
jeudi 23 février 2017
mardi 21 février 2017
David et Goliath
David, un jeune berger,
devant le géant Goliath :
Vous vous souvenez
certainement de cette histoire : pour combattre le guerrier Goliath, des
personnes bien intentionnées veulent que
David prenne le costume du combattant, la cuirasse, l’épée….un
costume qui n’était pas le sien, ne lui convenait pas.
Il a essayé, et a renoncé à porter le costume
d’un autre, même sous la pression sociale de l’époque
Il est allé au combat, comme
il était, lui-même, dans son costume à lui, celui d’un berger armé d’une simple
fronde.
Dans ce récit, David a conscience de sa valeur, invisible à
ceux qui ne regardent pas au cœur, et c’est avec ses propres armes, avec son talent, avec sa foi, avec la force
de sa louange à Dieu qu’il va pouvoir accomplir ce qu’il est, et être source de
bénédiction pour une multitude, malgré ses faiblesses, mais avec l’aide de
Dieu.
Toi aussi, tu es appelé à
aller comme tu es, en ne comptant que sur la grâce.
N’aie pas peur, je suis
avec toi dis Jésus, marche juste derrière –moi, va avec la force que tu as !lundi 20 février 2017
samedi 18 février 2017
jeudi 16 février 2017
mercredi 15 février 2017
mardi 14 février 2017
dimanche 12 février 2017
samedi 11 février 2017
dimanche 5 février 2017
samedi 4 février 2017
vendredi 3 février 2017
Que la lumière soit !
Vous êtes le sel et la lumière du monde
(Mt 5, 13-16)
Quand Jésus nous dit “ Vous
êtes la lumière du monde ”, il
ne nous fait pas la morale, comme s’il disait : recevez la lumière de Dieu
et transmettez-là. Mais Jésus affirme, comme un état de fait, que nous sommes
la lumière du monde.
Cette lumière dont il est question ici, c’est notre lumière
personnelle nous dit Jésus.
Cela nous est arrivé à tous, de temps en temps d’avoir été
« la lumière » pour quelqu’un, rendant le sourire, remettant sur
pied, éclairant un peu l’horizon, ouvrant une porte vers la foi, ou donnant la
force de pardonner…
Jésus ne nous oblige pas à briller, mais il dit que ce
serait, vraiment, vraiment dommage pour le monde si nous ne le faisions pas.
Dieu ne nous aimera pas moins si nous ne le faisions pas, mais c’est un
formidable gâchis quand le sel que nous sommes perd sa saveur ou quand notre
lumière ne brille pour personne, laissant le monde souffrir d’une obscurité et
d’un manque de saveur que personne ne pourra combler que nous-même.
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